Entre serres agricoles et balcons plantés, Highlife à Boulogne-Billancourt fait germer la ville de demain

Direction Boulogne-Billancourt dans les Hauts-de-Seine où le projet urbain Boulogne D5 s’impose comme l’épilogue d’une reconversion emblématique : celle des anciennes usines Renault. Derrière cette opération d’envergure de 53 000 m², portée par BNP Paribas Immobilier Promotion et Eiffage Immobilier, se cache un volet résidentiel qui veut incarner les aspirations d’aujourd’hui en matière de logement : durabilité, mixité, bien-être et qualité architecturale.

 

Un îlot résidentiel de 176 appartements neufs pensés pour tous

 

Le volet logement du projet D5 se déploie à travers deux bâtiments : les lots 3 et 4 conçus respectivement par les agences AAVP et ECDM. Ensemble, ils forment un ensemble de 176 logements, du studio au 6 pièces duplex, dont 88 logements sociaux (soit 30 % du total), harmonieusement répartis pour garantir la mixité sociale.

Ce parti-pris n’est pas qu’un engagement statistique, il se traduit par une égalité d’accès à tous les équipements : jardins partagés, venelles végétalisées, serres agricoles, salle commune panoramique. Les concepteurs ont veillé à ce que chaque résident, quelle que soit sa situation, bénéficie du même confort d’usage et des mêmes opportunités de vivre pleinement son quartier.
Comme le soulignent les deux promoteurs, « l’accès aux espaces extérieurs, aux venelles paysagères et aux services partagés est identique pour tous les habitants, quelle que soit leur situation ».
Highlife se distingue par une approche résolument tournée vers le bien-être et la nature en ville. Tous les logements sont dotés d’un espace extérieur : balcons, loggias, jardins privatifs et les toitures accueillent deux serres agricoles, accessibles aux habitants, qui prolongent cette connexion avec le vivant. Une attention particulière a été portée à la lumière naturelle, à la ventilation croisée, à la qualité des matériaux, mais aussi à l’évolutivité des aménagements.
L’esthétique globale du projet se veut sobre, minérale, végétale. Les bâtiments s’intègrent dans un îlot structuré par des venelles arborées, évoquant des sous-bois urbains, et par des balcons filants plantés qui participent à la régulation climatique et à la biodiversité locale.

 

Une réponse exemplaire aux défis du logement durable dans le Grand Paris

 

Sur le plan environnemental, Highlife affiche une ambition claire : dépasser les normes actuelles. Certifiée NF Habitat HQE, la résidence intègre de nombreux dispositifs de performance : toitures végétalisées (plus de 1 100 m² au total), matériaux bas carbone, récupération des eaux pluviales, isolation renforcée, ventilation naturelle… autant de leviers pour réduire l’impact écologique tout en garantissant un confort optimal.

Ce projet s’inscrit également dans une dynamique d’écoquartier, en lien avec la ZAC Seguin-Rives de Seine. L’ensemble D5, et Highlife en particulier, s’intègre dans un tissu urbain dense mais apaisé, avec une voirie partagée, des mobilités douces favorisées (500 m² de locaux vélos sécurisés) et une proximité immédiate avec la Seine, le parc de Billancourt et les futures stations du Grand Paris Express.
En choisissant de faire du logement l’un des piliers de D5, les promoteurs affirment que l’avenir urbain se joue aussi dans la capacité à bien loger durablement. « Highlife et D5 sont la preuve que l’immobilier peut lier esthétique, durabilité, densité et bien vivre ensemble », indique le groupement, de sorte à réconcilier ville dense et cadre de vie qualitatif.
Avec le programme neuf Highlife à Boulogne, Boulogne D5 démontre qu’un projet immobilier neuf peut répondre aux enjeux sociaux et environnementaux de notre époque sans renoncer à l’exigence architecturale. Livraison prévue d'ici mi-2026.